La confession de l'écolier

 

Ces lignes d’écriture alignées, tel un chapelet qu’on égrène sous l’oeil d’un maître ou d’un dieu sévère, témoignent d’un mea culpa contraint et maladroit, où l’incertitude se mêle à la peur.

Ainsi la cantine scolaire vient-elle à se confondre avec le réfectoire d’un monastère imaginaire où chaque péché mineur doit être confessé et expié.

Mais « s’il ne faut pas éteindre la lumière », de quelle lumière s’agit-il finalement ?

 

crucifix et punitions d’élèves

L : 32 cm x l : 28 cm

1994